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Israël se prépare à des manœuvres sans précédent

L’équipe du site

Dimanche prochain , l’entité sioniste se prépare à des manœuvres sans précédent  pour tester l’état de préparation du front intérieur : manœuvres qui consistent à  face à une guerre générale où tous  les centres résidentiels du front intérieur seront sous le feu de milliers de missiles, a rapporté le quotidien libanais asSafir.

Selon des sources israéliennes , « ces manœuvres revêtent  une importance primordiale aujourd’hui dans le cadre des menaces croissantes échangées entre Israël et la Syrie » , et des tensions exacerbées sur le front du Golan syrien occupé.

Ce qui est à noter  c’est que « pour la première fois ces manœuvres ont été baptisées Orf Etan 1 et consistent  à préparer les grandes villes d’Israël à non pas une attaque de missiles mais à quand cela se produira ».

Les manœuvres Orf Etan 1 ont lieu sur la base d’un scénario très dangereux impliquant des milliers de roquettes, y compris des missiles non conventionnels, frappant  les villes et les zones résidentielles et des installations stratégiques en Israël.

Autrement dit ces manœuvres consistent à faire face à une attaque de milliers de missiles  venant  de plusieurs fronts en même temps, soit de la Syrie, du  Liban et de la bande de Gaza. A souligner que ces exercices étaient  initialement prévues il ya trois semaines mais ont été reportés en raison des tensions avec la Syrie. Et donc,  Dimanche prochain le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu compte annoncer le début de ces manœuvres dans le cadre de la semaine d’urgence nationale.

Selon le plan,  entre lundi et mercredi,  la population israélienne  est appelée à participer à ces manœuvres  aussitôt les sirènes déclenchées  en allant se réfugier dans les abris souterrains.

Le Lundi à midi, les  sirènes d’alerte se déclencheront et les opérations d’évacuation seront executées dans les établissements scolaires, les lieux de travail et les institutions des autorités locales.

Toujours le Lundi, mais le soir, les sirènes retentiront à nouveau   pour tester l’état de préparation des familles dans leurs maisons. Le réseau internet sera utilisé en collaboration avec le ministère de l’Éducation pour s’assurer si les étudiants ont rejoint leurs familles et ont réussi à s’abriter.

Pour la première fois,  l’entité sioniste testera tous ses systèmes d’alarmes à travers les cellulars, les réseaux sociaux et les chaînes de télévision et de radio. La zone des manœuvres sera  Tel-Aviv le gouvernement participera dans son ensemble.

Toujours selon asSafir, les manœuvres consistent à faire face à des missiles  non conventionnelles qui vont  tomber sur des écoles et des lieux à  Nazareth et Safad, aussi à secourir des blessés  dans une usine et une prison.

La Knesset sera exposée également aux missiles non conventionnels de même qu’un hôpital de Jérusalem et un grand incendie dans les forêts du Mont Carmel.

Le commandant en chef du front intérieur le général Iyak  Eisenberg a déclaré : «il nous est demandé de faire face à une grande quantité de missiles. L’ennemi dispose de missiles de longue portée  avec des ogives aux des volumes substantiels pesant des centaines de kilogrammes. Il ne fait aucun doute que le front intérieur israélien connaîtra une expérience jamais vécue dans le passé, le front  être solide pour permettre au commandement général de prendre des décisions », ajoutant que« les jours ne seront pas faciles, mais les capacités d’Israël de destruction doublent des dizaines de fois celle de  nos ennemis, je conseille nos voisins qui s’échauffent de reconsidérer leurs mouvements ».

Selon le général Eisenberg, le «défi réside dans la menace chimique et donc nous serons contents à ce que nos citoyens ne soient pas exposés au risque d’une arme chimique ».

Et de conclure : « Nous nous préparons à  faire face à l’ouverture de  multiples fronts et nous savons que l’ennemi  jouit d’une véritable capacité opérationnelle pour frapper le front intérieur israélien, d’où ces manœuvres. Elle est révolue  l’ère des privilèges où les affrontements se concentrées à l’avant alors qu’à l’arrière le front est calme. Désormais, le front intérieur  connaîtra  quelque chose d’autre et nous avons déjà eu l’occasion de l’expérimenter  durant  la seconde guerre du Liban »..

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=113189&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=22&s1=1

Les rebelles syriens et «Israël»: concordance du parcours et du sort

Nombreux sont les rebelles syriens qui ont acclamé la dernière agression israélienne contre Damas. Ils ont célébré l’intervention directe de l’entité sioniste dans la crise. Ils ont montré, d’une manière ostentatoire, une harmonie entre leurs politiques et l’agenda israélien.

Ce ne fut pas une surprise. L’opposition syrienne parait fidèle à un parcours suivi depuis le début de la crise. Dès le premier jour, Borhan Ghalioun l’a clairement déclaré au «Wall Street Journal». L’objectif est de conclure la paix avec «Israël». Le chef d’état-major de l’ennemi, Benny Gantz, a récemment indiqué qu’une sorte d’entente a eu lieu entre «Israël» et l’opposition syrienne, «afin de garantir l’avenir des frontières entre les deux pays». Le responsable israélien a évoqué «des garanties présentées par les pays arabes qui parrainent et financent l’opposition syrienne».

Pour plusieurs opposants syriens, «Israël» n’est guère un ennemi. Ces propos ne sont pas une exagération. Leurs réactions envers le dernier raid contre Damas, a confirmé ce fait. Les raids israéliens sont requis afin de réaliser l’objectif commun des deux parties (opposition et «Israël»). Renverser le régime. Certains rebelles ont même interprété les raids, comme étant un conflit personnel entre Assad et l’entité sioniste.

Tout observateur pourrait constater une concordance entre les positions des opposants et des Israéliens : la question des armes chimiques, la convocation de l’intervention de l’Otan, l’hostilité au tandem Iran-Syrie-Hezbollah, la participation à des réunions organisées par l’ami d’ «Israël», Bernard Henry Levy, les déclarations de certains aux médias israéliens, arrivant enfin à considérer «Tel-Aviv» comme «une nécessité dans la région».

L’opposition syrienne semble être une extension naturelle d’un système intellectuel global, émergé depuis longtemps dans le monde arabe. Un système qui a consenti l’hégémonie américaine et israélienne, même si le coût était l’autodestruction et l’anéantissement de tous les facteurs de force. En Syrie, ces facteurs sont l’entité, l’Etat, l’armée et l’alliance régionale.

L’opposition syrienne a adopté une demande historique prônée par ce système et ceux qui le soutiennent : éliminer la fonction stratégique de la Syrie, en face d’ «Israël». Une fonction axiomatique d’après la géopolitique. Les réalités des deux dernières années le confirment.

Cet objectif peut être réalisé de deux manières :

Torpiller les constituants de l’État syrien, nécessaires à la confrontation d’«Israël». Un fait observé depuis le début de la crise syrienne.

Dissocier la Syrie de la cause palestinienne. De grands efforts ont été déployés dans ce contexte pour provoquer des différends, voire des conflits, entre les factions palestiniennes et Damas, qui les avait accueillies tout au long de trente ans. S’ajoutent à ces tentatives, des campagnes médiatiques de désinformation, visant à réduire l’importance décisive du soutien syrien à la résistance palestinienne.

Il convient de noter que la fonction stratégique de tout pays, est un moyen par lequel il peut se préserver. En dépit de ce fait, l’opposition syrienne ne cesse de diaboliser la politique adoptée par la Syrie à l’égard de plusieurs affaires, dans le contexte de son droit naturel de jouer ce rôle stratégique.

Par son attitude, l’opposition tente de parvenir au pouvoir, quel qu’en serait le prix. Elle affiche un aspect de collaboration, inévitable dans toutes les sociétés. Mais la collaboration et la traitrise de l’opposition syrienne ont pris de nouvelles dimensions, qui nécessitent des analyses intellectuelles et psycho-sociales.

Source : al-Ahednews, traduit par : moqawama.org

http://french.moqawama.org/essaydetails.php?eid=9417&cid=324#.UZv2Gth3dDw

Israel abat son drone et envoie sa force spéciale à Al Qusseir !!??

Un drone israélien s’écrase en Méditerranée!

Un drone israélien s'écrase en Méditerranée!

IRIB-Un drone furtif sioniste s’est écrasé à Tel-Aviv pour des raisons techniques , selon l’aviation israélienne cité par le journal Yediot Aharonaut.
« L’appareil patrouillait le ciel de la Mditerranée avant qu’une avanie technique se déclare à bord et que l’aviation israélienne décide de tirer dans sa direction et d’abattre » la marine sioniste et l’aviation israélienne se sont rendus sur la zone pour localiser l’appareil »  la caracasse du drone n’a pas encore été retrouvé bien que les hélicoptèrs ont mis ds heures à la rcherchr. Cheval est le nom de ce drone qui fait partie des drones les plus sophistiqués de l’aviation sioniste , et aussi les plus grands. l’armée de l’air israélienne a ouvert une enquête pour tirer au clair les circonstances du crash. ce n’est pas la première fois qu’Israël abat ses proprs drones à défaut de pouvoir les interceptr! depuis cet incident Israël a décidé d’interdir jusqu’au nouvel ordre le vol de ses drones Cheval. il a peur que les appareils ne tombnt ntre ls mains de ses adversaires.

Syrie : La force spéciale israélienne à Al Quasseir !!

IRIB- Les membres des forces spéciales de l’armée sioniste viennent d’entrer à Al Quasseir où les terroristes d’Al Nosra et de l’ASL sont encerclés par les soldats de l’armée nationale! selon Al Khabar press ,
 » des forces spéciales israéliennes arrivent expréssement pour venir en aide des terroristes d’Al Nosra . ils ont traversé les frontières du côté libanais et cherchent à empêcher l’avancée des soldats de l’armée syrienne » Al Quasseir est la principale base des terroristes en action contre l’Etat et l’armée syrien. c’est une ville qui entre dans la cinquième semaine de son siège par les forces de l’armée nationale. si l’Armée syrienne parvient à entrer dans la ville , l’un des principaux artères d’approvisionnement des terroristes sera coupé au risque de mettre hors jeu le front terroriste d’Al Nosra.

« Le Hezbollah 2013 » dans les yeux d’Israël

Sous le titre « Hezbollah 2013 », le quotidien israélien « Israël Hayom » a publié une enquête approfondie sur les transformations qui se sont produites dans l’infrastructure militaire du Hezbollah dans la foulée de la guerre en Juillet 2006. L’enquête présente un aperçu général sur la vigilance militaire du parti au niveau d’armes et de soldats. C’est donc l’image du Hezbollah comme « vous ne l’avez jamais connu ».

«La prochaine guerre entre le Hezbollah et Israël viendra. Dans un mois, un an, après plusieurs années, mais elle viendra. Et quand elle aura lieu, Israël « fera face à l’organisation qui constitue la principale menace pour la profondeur d’Israël ». L’organisation que nous connaissions dans les années 2000 a connu beaucoup de changements  dans la mesure où nous ne la connaissons plus: Le Hezbollah en 2013 est une organisation plus indépendante, plus militarisée, et plus audacieuse ».
Dans son reportage, « Israël Hayom » explique comment le Hezbollah s’est-il préparé depuis la deuxième guerre du Liban pour la prochaine guerre, et comment «les sept ans d’accalmie l’ont aidé dans le développement de son armement et dans le recrutement de soldats en vue de préparer des surprises pour Israël. Eux aussi, comme dans l’armée israélienne, savent que la guerre viendra inévitablement, tôt ou tard ».
Selon le journal, l’un des principaux thèmes mis en avant par le parti est de s’approvisionner silencieusement en un arsenal balistique qui comprend environ 60 mille missiles. Ces missiles représentent une menace réelle et directe au front interne israélien. Selon les estimations israéliennes, la majorité absolue de ces missiles sont d’une courte portée, soit d’une dizaine de kilomètres, alors qu’environ 5.000 roquettes sont d’une moyenne portée (250 km), ces roquettes sont capables d’atteindre Tel-Aviv et ses environs, en plus de quelque 300 roquettes de longue portée capables de couvrir tout le territoire israélien.
Le même journal israélien  cite des sources de l’institution sécuritaire israélienne selon laquelle «le Hezbollah en 2006 a pu lancer quelques centaines de missiles à ogives militaires pesant 300 kg sur la région de Gush Dan (Tel Aviv et ses banlieues), mais il est aujourd’hui en mesure de tirer encore dix fois de plus le nombre des roquettes tirées en 2006  sur le centre du pays».

Mais ce qui hante le sommeil des officiers supérieurs de l’armée israélienne n’est pas le nombre de roquettes inconnu, mais leur haute précision qui a été nettement améliorée. Dans le passé, «les responsables israéliens disaient que la plupart des roquettes possédées par le Hezbollah sont de faible précision. Mais au cours des dernières années, l’organisation a reçu des missiles précis, tels que le M 600 fabriqués en Syrie, qui est une version moins mortelle des missiles Fateh 110 iraniens. Le Hezbollah possède également «un nombre limité de missiles Scud D, qui sont considérés relativement précis ».

Le journal explique le danger que représente la précision des missiles sur Israël. Ils peuvent permettre « à l’Organisation de Hassan Nasrallah de frapper avec efficacité les infrastructures nationales et militaires, y compris les aéroports, les installations de recrutement, de commandement et des centres de contrôle  appartenant à l’armée ». Selon les estimations de l’institution sécuritaire israélienne, le Hezbollah réussira au cours des cinq prochaines années de s’approvisionner en centaines de roquettes de haute précision.

Pour l’ancien dirigeant de la division du renseignement militaire, Amos Yadlin, «il ne faut pas minimiser l’importance de la force des roquettes du Hezbollah. Et le journal israélien de rappeler les propos du chef d’Etat-major, Beni Gantz, selon lequel « le Hezbollah est l’unique organisation non-étatique qui possède des arsenaux de guerre de cette ampleur. Même certains pays ne possèdent pas ce qu’a le Hezbollah ».

Toujours selon la même source, le Hezbollah tente de mettre la main sur des systèmes d’armes sophistiqués disponibles en Syrie et en Iran, comme des missiles sol-mer, ou peut-être des armes chimiques.

Au niveau du nombre des recrutés, le rapport israélien estime que le Hezbollah recrute entre 20 et 40 mille combattants.  Selon le professeur Shimon Shapira,  «les combattants sont divisés en plusieurs spécialités. Ils ont presque tout, des groupes anti-aériens, des commandos professionnels, une force aérienne, des forces de contrôle et des forces de renseignements. Ils apprennent l’hébreu, ils utilisent des appareils d’écoute sophistiqués qui viennent de l’Iran… Actuellement, quand les combattants du Hezbollah ne sont pas en Syrie, ils subissent des entrainements et des exercices. Aux forces de combat, s’ajoute des milliers de citoyens qui servent en tant que forces de réserve.

Et d’ajouter : « Le Hezbollah concentre ses efforts sur la prochaine bataille, en essayant de créer une conscience d’offensive, à travers l’envoi de drones, ou en essayant de bombarder un avion ou un navire israélien, ou encore à travers des attaques à l’intérieur des territoires israéliens ».

D’après l’institution militaire israélienne, le Hezbollah « va essayer dans la prochaine guerre de transposer la bataille à l’intérieur des territoires israéliens en envoyant une « cellule de la mort » ou en occupant une petite colonie israélienne pour un certain temps ».

« Le Hezbollah possède des dizaines de drones, capables de porter des engins explosifs, dont de grands drones relativement sophistiqués de fabrication iranienne, ou encore des drones très petits capables d’échapper aux radars de l’arme de l’air », explique-t-on dans le même reportage.

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=111609&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=22&s1=1

Un fond juif et israélien pour assister l’insurrection en Syrie

L’équipe du site

Moti Kahan arborant le drapeau de l'insurrection syrienne à l'Institut de WashingtonUn groupe d’homme d’affaires israéliennes et américaines juifs ont créé un fond pour financer les insurgés en Syrie.

C’est le chef de ce groupe, Moti Kahana qui a révélé cette information pour le quotidien israélien Yediot Aharonot, en marge d’une rencontre organisée par l’Institut de Washington pour la politique du Proche Orient, think tank connu pour ses tendances pro israéliennes.

«  Nous, juifs et Israéliens ne pouvons admettre que des femmes et des enfants puissent être égorgés si près de nous », a-t-il argué. Signalant avoir lui-même accordé à ce fond une somme s’élevant à 100.00 dollars.

Durant son intervention dans l’institut américain, Kahana qui a dit qu’il vit dans le New Jersey alors que sa famille vit en Israël a arboré un drapeau de l’insurrection syrienne, dévoilant que son frère Steeve, un réserviste de l’armée israélienne dans les services médicaux soignent les blessés syriens qui passent au Golan occupé. Il signale entre autre s’être rendu en Syrie, « comme s’il se rendait à Tel Aviv ». « Nous avons recueilli des centaines voire de milliers de dollars dans les deux dernières années et je suis chargé de transférer des dons à des organisations libérales en Syrie », ajoute-t-il.
Il devrait poursuivre son opération de collect de fonds dans les synagogues.

Selon lui, les réactions israéliennes à cette initiative sont plutôt favorables sachant que le groupe compte quelques membres de la Knesset israélienne.

Le Yediot Aharonot précise qu’à la rencontre de l’institut, ont intervenu deux représentants de l’opposition syrienne. L’un d’entre eux, un membre de la diaspora syrienne aux Etats-Unis ayant requis l’anonymat a salué les dernières attaques israéliennes contre des positions syriennes le week-end dernier, les qualifiant « d’opération chirurgicale d’une haute précision », et demandant aux Etats-Unis de «  bombarder les positions des forces du régime de Bachar »
« Assad ne va jamais fuir, alors que le pays est repris par al-Qaïda d’une part et l’Iran et le Hezbollah de l’autre », dit-il.

Quant à son associé, il a tenu à rassurer l’entité sioniste que « le prochain gouvernement démocratique syrien apaisera les tension avec Israël ».«  Il n’y a aucune raison pour que les démocraties soient hostiles les unes aux autres. Et si Israël accepte de faire des compromis dans les hauteurs du Golan, la Syrie pourra établir la paix avec lui, parce que sinon il n’y a pas d’animosité entre les deux peuples », a-t-il déclaré.

Le colonel AlAkidi ( à droite) et le colonel Zaccaria (à gauche)Selon le site Syria Truth, la ministre de la justice israélienne Tzipi Livni a participé à cette rencontre, aux côté de membres de l’opposition syrienne des Frères Musulmans et de la Déclaration de Damas, lesquels vivent aux Etats-Unis. Le site syrien accuse aussi le colonel de l’ASL, Abdel Jabbar AlAkidi et le colonel médecin Abdel Hamid Zaccaria d’avoir fait part aux discussions à Washington, dont l’un d’elles était intitulé «  les circonstances internes et la guerre contre le régime de Bachar al-Assad ».

Syria Truth assure pour sa part que l’officier AlAkidi est l’homme d’Israël dans le nord de la Syrie, à l’instar du colonel Antoine Lahad, de la milice collaboratrice libanaise, l’Armée du Sud-Liban (également ASL) fondée à la fin des années 70 du siècle dernier par les Israéliens et le colonel libanais déserteur Antoine Haddad.

AlAkidi aurait introduit l’an dernier des agents américains et israéliens dans la région d’Al-Safira à Alep, en passant par la Turquie, pour leur permettre de collecter des informations sur les usines militaires de défense là-bas.

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=111619&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1

Accord militaire Tel-Aviv/Ankara, pour attaquer la Syrie et l’Iran

 

IRIB-  Plus serviable que çà, tu meurs!!
Erdogan et son équipe ont mis bouchée double, pour élargir leurs coopérations avec Israël, coopérations, qui, visiblement, outrepassent le simple domaine économique. Selon le journal « Al-Manar », qui fait paraître un article, sous l’intitulé « Les néo-Ottomans, au service d’Isarël », une délégation militaire et sécuritaire turque s’est, récemment, rendue, à Tel-Aviv, pour ajouter une clause à l’accord militaire israélo-turc. Cette visite a précédé de peu le voyage qu’Erdogan entend effectuer, à Gaza, et pour laquelle il a eu l’aval des autorités d’Israël ». Selon le journal, « Les rencontres, qui se multiplient entre Israéliens et Turcs n’ont pas seulement la valeur de retrouvailles, il y a des échanges de renseignement, d’informations sécuritaires et militaires entre les deux parties. Bref, c’est un travail de coordination, en vue de vaste projets guerriers, qui se mettent, peu à peu, en place, et qui visent l’axe de la résistance ». L’article revient sur la clause annexée à l’accord sécuritaire israélo- turc, qui revêt « une importance particulière ». « La clause engage Erdogan à intervenir, militairement, dans le Nord de la Syrie, en cas de guerre syrienne contre Israël »!! Une autre partie de cette clause concerne l’Iran : « La Turquie ouvre, selon cet accord, son espace terrestre à l’armée sioniste, pour que celle-ci prenne d’assaut les sites nucléaires iraniens »!!

Les députés jordaniens réclament l’expulsion de l’ambassadeur israélien

 

Les députés jordaniens ont réclamé mercredi au gouvernement l’expulsion de l’ambassadeur israélien Daniel Nevo, après l’interpellation du mufti d’alQods, a rapporté l’agence officielle Petra.

« Les (150 membres) de la chambre basse du Parlement ont exigé unanimement que le gouvernement demande à l’ambassadeur israélien de quitter la Jordanie et rappelle l’ambassadeur jordanien en Israël », Walid Obeidat, a indiqué l’agence.

Petra a précisé que le vote était intervenu « en réponse aux mesures d’occupation israéliennes à la mosquée Al-Aqsa ».

Cité par l’agence, le Premier ministre jordanien Abdallah Nsour a déclaré aux députés que son gouvernement considérait de façon « très sérieuse » ces « violations israéliennes ».

« Le conseil des ministres a discuté ce matin de (la décision) de permettre à des colons juifs extrémistes de pénétrer sur le site de la mosquée d’Al-Aqsa et l’arrestation du mufti d’alQods cheikh Mohammad Hussein », a-t-il indiqué.

Nsour a ajouté que l’ambassade jordanienne à Tel-Aviv « va prendre toutes les mesures nécessaires pour répondre à ces crimes horribles ».

Le mufti d’alQods, plus haute autorité religieuse palestinienne, était interrogé mercredi par la police israélienne pour son implication présumée dans des heurts la veille sur l’esplanade des Mosquées à l’Est de la ville sainte d’alQods, a indiqué un porte-parole de la police israélienne.

« Des chaises ont été jetées sur un groupe de juifs au mont du Temple » lors d’une visite sur ce site, dans la Vieille ville de Jérusalem, a-t-il expliqué.

En mars dernier, le roi de Jordanie Abdallah II et le président palestinien Mahmoud Abbas ont signé un accord confirmant le rôle de la Jordanie en tant que gardienne des lieux saints musulmans d’alQods.

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=110989&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=153&s1=1